samedi 28 novembre 2009

Les paradoxes des mesures d'hygiène



La pandémie est dans toutes les bouches, tout le monde en parle, un léger vent de panique soufflerait-il? Les pharmacies, et désormais même les supermarchés vous vendent du désinfectant pour les mains sous différentes formes. Nous avons le droit à toutes sortes de consignes de sécurité pour lutter contre la propagation de la grippe A H1N1, notamment dans les murs de l'université où des affiches explicatives sont mêmes épinglées. Il est question de se laver les mains régulièrement, de tousser ou d'éternuer dans un mouchoir, d'éviter les poignées de main, les accolades et les bises.

Alors comment est-ce possible, que lors des apéritifs organisés par l'université, il y ait sur les tables des olives que l'on peut se servir avec les doigts, des pains surprises à manger avec les doigts, des canapés à manger avec les doigts? L'angoisse monte...

1 commentaire:

  1. Je suis tout à fait d'accord avec toi Corinne, les consignes de l'université sont paradoxales! De plus, je pense que ceux qui ont décréter qu'il ne fallait pas s'approcher des autres à moins d'un mètre n'ont jamais pris les trams genevois aux heures de pointe!!

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